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Anne Augereau & Christophe Darmangeat : Aux origines du genre, 2022

     Je me suis intéressée à ce livre grâce à l'Atlas des Origines de l'Homme de Romain Pigeaud que j'ai lu précédemment. J'ai remarqué le titre de l'ouvrage dont je parle dans la bibliographie de ce dernier livre car il parlait notamment de la question des femmes dans la Préhistoire.

     Le but de cet ouvrage collectif est de rester vigilant sur les surinterprétations archéologiques au sujet du genre dans la Préhistoire. Il est constitué de plusieurs chapitres écrits par des auteurs différents. Le premier chapitre constitue la moitié de l'ouvrage et pose les grandes généralités de la réflexion sur le genre dans les études archéologiques. La seconde partie est constituée de cinq petits chapitres sur des réflexions plus restreintes et des études de cas.

      Ce qu'il faut retenir du livre, c'est tout d'abord la clarification entre des différences entre les notions de sexe, sexualité et genre. Le sexe est une identité biologique (chromosomique et physiologique), la sexualité concerne les comportements sexuels et le genre intéresse l'identité sexuelle, comportementale et sociale d'un individu. Il est difficile de savoir s'il y avait des différences genrées et, le cas échéant, leur nature dans les sociétés préhistoriques. Si on observe les sociétés humaines du présent ou du passé proche, elles sont toutes organisées sous la domination masculine. Concernant nos plus proches cousins, les singes, leurs sociétés ne sont ni patriarcales ni matriarcales. La reproduction se fait de manière matrilocale, contrairement aux vestiges préhistoriques d'humains qui ont tendance à révéler une reproduction patrilocale. Les femelles ont tendance à s'occuper des petits et les mâles à chasser en groupe voire mener des guerres à d'autres groupes, néanmoins ces comportements ne sont pas systématiques.

     Les vestiges archéologiques parlent peu : les ossements révèlent des lésions liées à certaines activités physiques : certains hommes montrent des lésions au coude ce qui est lié sans doute à des pratiques de chasse, mais on ne les retrouve pas chez tous les hommes, ce qui semble signifier que la division du travail n'était pas que sexuée. Concernant le mobilier funéraire, par exemple les armes retrouvées dans des tombes d'enfants ou de femmes, il se pourrait qu'il ne soit que symbolique et ne provoquerait pas forcément refléter les fonctions sociales de l'individu enseveli.

Il faut donc prendre garde aux interprétations venant réveiller les fantasmes du matriarcat et de la femme guerrière: en réalité nous ne pouvons souvent pas privilégier d'interprétation et nous ne le pourrons sans doute jamais. J'ai beaucoup apprécié cet ouvrage qui remettait les pendules à l'heure, alors que les titres de médias qui cherchent le sensationnel sont légions, en particulier sur internet, occultant le travail scientifique des chercheurs et les nuances de leurs conclusions, et parfois repris de manière idéologique... mais nous devons affronter le fait de n'avoir que peu d'informations sur les différences genrées lors de la Préhistoire, ce qui nous laisse une certaine frustration. Comme le rappelle bien dans l'ouvrage Pascal Picq, paléoanthropologue de renom, la séparation des tâches chez l'espèces humaine reste «une innovation propre au genre homo» : il s'agit certainement de chercher plutôt des réponses dans le présent plutôt que dans l'évolution de l'espèce.

Aux origines du genre, collection La Vie des idées chez PUF

Anne Augereau, professeur à Panthéon Sorbonne

Page professionnelle de Christophe Darmangeat

Site professionnel de Pascal Picq

Stanislas Dehaene : Les Neurones de la lecture, 2007

     Ma reprise de l'enseignement approchant, j'ai décidé de me préoccuper pleinement des sciences cognitives applicables à l'enseignement des Lettres. Malheureusement, je n'ai rien trouvé concernant l'enseignement du français et de la littérature. Je me suis alors concentrée sur l'existence de l'ouvrage de Stanislas Dehaene, professeur au Collège de France mais aussi président du conseil scientifique de l'Education Nationale, ce qui en fait une source sûre pour l'application du résultat de ses recherches à l'enseignement.
 
     L'ouvrage est daté de 2007, soit il y a bientôt vingt ans ; à notre époque les découvertes scientifiques ont un élan exponentiel et depuis nous avons bien des nouveaux éléments concernant les neurosciences. Néanmoins, ce livre reste solide dans son domaine et jette les bases du fonctionnement du cerveau lisant. L'ensemble de l'ouvrage est construit de manière pédagogique : sa structure est progressive, le vocabulaire est accessible et il est garni d'illustrations colorées appuyant le propos car elles montrent les résultats de recherches scientifiques en rapport avec le sujet. L'auteur commence par expliquer comment l'information arrive à notre cerveau et surtout les principes de leur décodage, puis il affine progressivement chacune des étapes. Il synthétise les résultats des différents domaines de recherche en sciences cognitives, il les rassemble : paléoanthropologie, observations éthologiques sur les grands singes, tests neuroscientifiques chez les humains à tout âge, chez divers animaux, observations cliniques chez les patients présentant des lésions impliquant la parole et la lecture, statistiques scolaires. Le statut de Stanislas Dehaene, formé en mathématiques et docteur en psychologie lui confère une vue pluridisciplinaire large des neurosciences.
     D'après les recherches, nous savons donc que la reconnaissance des caractères se fait de manière instantanée. Seuls les neurones concernés s'activent. Le traitement se fait de manière pyramidale : contraste, barres, lettres, groupes de lettres, association à des sons, puis sens. Le traitement est géré par des neurones, chacun spécialisés dans la reconnaissance d'un élément. Concernant la lecture, la reconnaissance des lettres a lieu dans la zone occipito-temporale ventrale gauche du cerveau (arrière gauche pour simplifier). Le déficit de lecture handicapant les dyslexiques proviendrait de la désorganisation des neurones de cette zone. Grâce à ces conclusions, l'auteur met en avant les méthodes d'apprentissage de la lecture les plus adéquats car ils correspondent aux mécanismes cérébraux et à son développement dans l'enfance.
     Stanislas Dehaene n'hésite pas à formuler des spéculations audacieuses concernant le fonctionnement cérébral de la lecture, par exemple sur le fonctionnement pyramidal ou les neurones «bigrammes». Il rassemble les meilleurs arguments en faveur de ses théories, même si ces arguments ne sont pas des preuves : il assume ses spéculations car dans l'Histoire des sciences, elles sont nombreuses à avoir été des précurseurs de grandes découvertes bien prouvées par la suite.  Il s'engage également politiquement dans les méthodes à privilégier dans l'Éducation Nationale: abandon de de la méthode globale, rééducation des dyslexiques, étapes d'apprentissage et exercices à privilégier en classe.
     L'ouvrage est donc un bon point de départ pour toute personne qui désirerait comprendre la fonctionnement du cerveau et entrevoir une nouvelle approche de l'enseignement.
 
Les Neurones de la lecture chez les éditions Odile Jacob
Page de la chaire de Psychologie expérimentale au Collège de France de Stanislas Dehaene

Page Wikipédia de Stanislas Dehaene

Que signifie «AveMagistra» ?

     Le nom de ce site est tout simplement tiré de la formule avec laquelle les élèves latinistes me saluent en entrant en cours. Vous reconnaissez sans doute l'«Ave» du célèbre «Ave César» popularisé par la bande dessinée Astérix, ou bien l'Ave Maria (Je te salue Marie), prière de salutations à la Vierge Marie, et ou même encore la formule qu'auraient prononcée des gladiateurs dans l'arène «Ave Caesar, morituri te salutant» (Salut César, ceux qui vont mourir te saluent). Quant à «Magistra» il désigne tout simplement ma fonction de professeur au féminin.

    Le mot «Ave» est plus précisément l'abréviation du terme salve , l'impératif de salveo, qui sert à saluer son prochain en lui souhaitant une bonne santé. On peut alors le rapprocher de salvus, celui qui est en bonne santé. Tous ces mots sont à rapprocher de la famille de mots français salut, saluer, salutations, salubre, salubrité. ou encore du salud espagnol. En français, le terme salut avant d'avoir le statut d'interjection, est d'ailleurs avant tout le fait d'être en bonne santé, d'être conservé, d'avoir été sauvé. Ce dernier terme est lui même directement issu du verbe salveo, dont il a conservé la plupart des lettres. Si le l s'est transformé en la voyelle u, il a néanmoins été conservé dans l'adjectif salvateur, salvatrice et le nom salvation.

     Le terme «Magistra» est quant à lui un peu plus transparent, on le retrouve avec un sens très similaire dans l'expression cours magistral, c'est-à-dire un cours universitaire délivré par un professeur compétent dans son domaine. Chez les Romains, seuls les hommes peuvent enseigner, le maître d'école est appelé magister, magistra étant le mot auquel on y a ajouté le suffixe -a pour en faire un féminin mais il est utilisé plutôt dans un sens métaphorique que pour désigner une réalité sociale. Ces termes avaient également, et en premier lieu, le sens de "directeur", "directrice", "celui ou celle qui commande", dû à la racine mag- qui signifie la grandeur, qu'on retrouve notamment dans magnum, maximum, magnanime, magnifique. Les termes de magister et de magistra ont fini par perdre la lettre g et le s est devenu accent circonflexe pour devenir maître. Finalement, le maitre ou la maîtresse a gardé la même étendue de sens en français puisqu'il signifie autant la personne qui dirige que l'enseignant, le professeur, bien que le terme maîtresse a également pris une signification supplémentaire lors du dix-septième siècle, époque de la culture galante... Gare aux quiproquo !

Image tirée de l'album Astérix gladiateur, bande dessinée de René Goscinny (scénario) et Albert Uderzo (dessin), publié en 1964, source en lien

TDAH chez l'enfant : faut-il médicamenter ?

DÉFINITION ET ORIGINES DU TROUBLE

     Le TDAH est un trouble psychique défini par le DSM-51, le manuel de référence des professionnels de la santé mentale pour la description et le diagnostic des troubles. TDAH est l'acronyme de Trouble De l'Attention avec Hyperactivité et il se définit autour de la réunion de trois symptômes2 , que ce soit dans le domaine intellectuel ou moteur :

  • la difficulté à maintenir son attention,
  • un état d'agitation difficile à réprimer,
  • une impulsivité dans les actes, les prises de parole.

     Le TDAH se manifeste à cause d'un trouble dans le développement du cerveau3. Certaines zones du cerveau comme le lobe frontal, le cortex préfrontal, le cervelet ont un développement différent qui ont un impact sur le comportement et les apprentissages. Par exemple, le lobe frontal ne remplit pas bien ses fonctions de contrôle des émotions et d'inhibition pour la prise de décision et pour l'impulsivité. L'équilibre chimique du cerveau est aussi perturbé : les neurotransmetteurs sont des molécules permettant de faire passer les messages entre le neurones dans le cerveau. La dopamine, hormone de la motivation, et la sérotonine, hormone du calme et de la sérénité, et récemment la noradrénaline4,impliquée dans la gestion du stress, seraient les principales molécules en jeu dans le déficit.

     Ces dysfonctionnements touchent donc le cerveau dans sa globalité et son équilibre développemental est chimique, il est donc complexe de savoir où agir pour réguler ce trouble. Les causes de ce trouble développemental sont majoritairement héréditaires mais elles peuvent être aussi liées aux événements pendant la grossesse ou peu après la naissance, par exemple le faible poids à la naissance, la carence en fer, une exposition à certaines substances 5 6 . L'environnement pourra ensuite favoriser ou non le développement plus ou moins prononcé du trouble.

 

UNE MÉDICAMENTATION CONTROVERSÉE

     Contre les effets délétères de ce trouble, notamment dans la vie quotidienne familiale et la bonne réussite scolaire de l'enfant, un médicament est aujourd'hui prescrit de manière plus large. Il s'agit du méthylphénidate7, une substance de la même famille des amphétamines ou stupéfiants mais à usage thérapeutique. Cette substance agit en effet sur la captation de la dopamine et de la noradrénaline, qui sont en jeu dans le la manifestation du trouble comme nous venons de le voir. Les effets sur les enfants sont globalement positifs et l'entourage observe un apaisement dans le comportement de l'enfant.

      Peut-on alors le considérer comme un remède miracle ? Même s'il aide les individus qui en reçoivent la prescription, le traitement implique aussi des effets secondaires très fréquents8 comme les maux de tête et une perturbation du sommeil. Il est également contre-indiqué en cas de problèmes cardiaques mais aussi des autres troubles psychiques qui sont pourtant fréquemment associés au TDAH8. De plus, le médicament agit comme un «pansement» sur les symptômes, il ne «guérit» pas du TDAH il n'agit pas sur son développement, rendant la personne potentiellement dépendante à long terme pour vivre correctement. Le problème est qu'il y a encore peu de recul sur les effets secondaires à long terme, mais certaines études9 commencent à observer un lien avec des maladies cardiovasculaires prévalentes.

     Plus grave encore, certains enfants pourraient être diagnostiqués TDAH alors qu'ils ne le sont pas et recevoir une médicamentation inadaptée. Peu d'études ont été réalisées en France, mais en Amérique du Nord10, elles ont conclu à un surdiagnostic du trouble sur des enfants présentant d'autres troubles comme l'épilepsie, l'autisme ayant des symptômes en commun. De plus, il ne faut pas oublier que ces symptômes doivent être présents depuis le début de l'enfance et ne doivent pas survenir à cause de l'environnement familial: en effet, le manque d'activité physique, l'usage abusif d'écran, l'excès de sucre peuvent favoriser un comportement hyperactif et des problèmes pour gérer l'attention mais ils ne sont pas d'origine héréditaire.

 

LES ALTERNATIVES À LA MÉDICAMENTATION

     Outre la médicamentation aux effets miracles et spontanés, il existe des alternatives thérapeutiques qui permettent sur le plus long terme, de réguler et apaiser les symptômes du trouble et même de compenser certains déficits. Même si ces conseils peuvent s'appliquer à tous les enfants, y compris ceux n'étant pas atteints de trouble, un respect rigoureux de ces principes facilite le quotidien des TDAH et peuvent éviter une médicamentation :

  • les adaptations à l'école : place dans la classe, permission de sortir pour se défouler... voir la fiche sur TDAH France
  • limiter les écrans et les adapter à chaque âge : les études scientifiques sont unanimes, l'usage inadapté d'écrans défavorise le bon développement de l'enfant11 et aggrave le trouble TDAH  car les enfants atteints y sont encore plus sensibles. Pour plus de repères, vous pouvez télécharger la fiche du gouvernement «Bien grandir avec les écrans» ou celle de l'association «Lâche ton écran».
  • pratiquer des activités en plein air de manière quotidienne : des études récentes12 13 14 15 révèlent les bienfaits du plein air et de la place de la nature dans la vie des enfants TDAH, diminuant leurs symptômes. Pas besoin de se creuser la tête : la marche simple est un besoin fréquent des personnes atteintes d'hyperactivité et permettant de les soulager16 !
  • éviter les excès de sucre : pendant longtemps, on a cru que le sucre pouvait être en cause dans l'hyperactivité. Si cette idée est aujourd'hui révolue, il faut néanmoins faire attention à ses excès car, même s'ils ne sont pas cause, ils aggravent tout de même les symptômes17.
  • soigner le rythme du sommeil : le TDAH est souvent lié à des troubles du sommeil 18 19 comme la difficulté à s'endormir ou au contraire se réveiller, le manque de sommeil, de longs sommeils mais peu réparateurs. Afin de diminuer le problème et favoriser la concentration ainsi que la mémorisation, il faut donc consacrer une attention particulière au sommeil : respecter les temps de sommeil préconisés en fonction de l'âge (entre 10 et 14h pour un enfant), se coucher et se lever à des heures régulières, aider à l'endormissement par des rituels, s'aider de médicaments doux comme la mélatonine ou certains histaminiques. Téléchargez les affiches suivantes pour aider votre enfant à réguler son sommeil : Le Temps de sommeil par âge et Le Chemin du Sommeil.

 

MESURER LA BALANCE BÉNÉFICES-RISQUES

     Est-il nécessaire de donner une médicamentation à base de stupéfiant pour soigner le TDAH ? Il apparaît d'après les études mises en jeu dans le paragraphe précédent qu'il y ait de nombreuses alternatives thérapeutiques à la médicamentation. Par ailleurs l'Organisation Mondiale de la Santé20, ne recommande plus la médicamentation pour les TDAH car le comité scientifique a des doutes sur les réels bienfaits de la substance et il alerte sur la prescription abusive sans autre alternative thérapeutique21. Par ailleurs on pourrait estimer que la médicamentation ne devrait pas remplacer une hygiène de vie saine, elle ne doit pas non plus compenser un déficit de l'accompagnement parental ou scolaire. La décision de médicamenter ne devrait peut-être intervenir que si, malgré toutes les aides et thérapies mises en place, les troubles deviennent ingérables et menacent considérablement la santé et l'avenir de l'enfant.

 

SOURCES

  1. DSM-5, Manuel Diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition, p.67 [lecture du pdf, p. 126]
  2. Haute Autorité de Santé : «Trouble déficit de l'Attention avec ou sans hyperactivité» [lecture de l'article]
  3. Le Mini Coach TDAH : «Comprendre le cerveau TDAH» [lecture de l'article]
  4. Institut du Cerveau : «Noradrénaline» [lecture de l'article]
  5. Le Manuel MSD : «Trouble déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité» [lecture de la fiche]
  6. CHU Sainte-Justine : «Quelles sont les causes du TDAH ?» [lecture de l'article]
  7. Vidal : «Méthylphénidate»  [lecture de la fiche]
  8. Base de donnée publique des médicaments : «Méthylphénidate» [lecture de la fiche]
  9. Centre belge d'information pharmacothérapeutique : «Utilisation prolongée de médicaments du TDAH et risque cardio-vasculaire : nouvelles données [lecture de l'article]
  10. Revue Études : «La fausse épidémie de TDAH» [lecture de l'article]
  11. Institut Neurosens : «Temps d'écran : Amis ou ennemis pour les enfants TDAH?» [lecture de l'article]
  12. CCNSE : «Les espaces verts peuvent atténuer les symptômes de TDAH chez les enfants» [lecture de l'article]
  13. EHP Publishing : «Green and Blue spaces and behavioral development in Barcelona school children: The BREATHE project [lecture de l'étude en anglais]
  14. National Library of Medicine : «A Potential natural treatment for Attention-deficit/Hyperactivity Disorder : Evidence from a National Study [lecture de l'étude]
  15. Louis Espinassous, Le Besoin de Nature, 2014. Fiche de présentation de l'oeuvre sur Santé des Enfants & Environnement : «Le besoin de nature selon Louis Espinassous» [lecture de la fiche]
  16. Le Mini Coach TDAH : «TDAH et Marche» [lecture de l'article]
  17. Cerebrostim : «Le sucre et les symptômes de TDAH» [lecture de l'article]
  18. SOS Oxygène : «TDAH et troubles du sommeil : un lien méconnu mais fréquent» [lecture de l'article]
  19. Centre en Neurosciences de Lyon : «TDAH et Sommeil : une relation bidirectionnelle» [lecture du pdf]
  20. OMS, «L'OMS actualise ses orientations mondiales sur les médicaments et les ‎outils de diagnostic pour répondre à certains problèmes de santé, ‎privilégier les traitements très efficaces et rendre les traitements plus ‎abordables» [lecture de l'article]
  21. OMS, «Mental Health Gap Action Programme (mhGAP) guideline for mental, neurological and substance use disorders» p.28 [lecture du pdf p.64]

À lire aussi

  • L'article de l'Association québécoise des neuropsychologues sur le TDAH [lire l'article]
  • L'article de l'Institution national de santé du Québec : «Ritalin(r) : pour ou contre ?» [lire l'article]
  • L'ouvrage de Jean-Philippe Lachaux, Le Cerveau attentif, 2011

Magistra est née !

Annonce officielle de la naissance de la petite mascotte du site :

la petite chouette Magistra !

La mascotte du site représente une chouette chevêche, dite aussi «Chouette d'Athéna» (voir sa fiche sur le site de l'Office National des Forêts), représente symboliquement la sagesse et le savoir, tout comme la déesse Athéna dont elle est l'attribut. C'est ainsi que cet animal a été utilise pour représenter la collection grecque des éditions Budé, spécialisées dans l'édition des textes classiques.

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